Fille de riche propriétaire polonais, elle est acquise à la cause patriotique de son pays qui lui vaut la déportation par les autorités russes en Sibérie pendant trois années à partir de 1839. Son témoignage est publié en français, anglais et polonais en 1853. Elle y décrit notamment les mœurs des Ostiaks et ses conditions de vie extrêmes.