Fille du consul anglais à Alger, elle est, entre autre, témoin de la capture des Européens par les Barbaresques et des opérations de rachat. Entre 1806 et 1812, toute la famille profite d’une vie agréable à Alger, cependant sa mère et son père font tout ce qui est en leur pouvoir pour soulager la misère des captifs.
Elle publie à Londres le journal de sa mère Marie Richards qu’elle étoffe de ses propres témoignages. Née sur l’île de Man, elle est enterrée à Montpellier.